


faut voir les banderolles du feyenoord lors des rencontres feyenoord/ajax.
camps de concentration et j' en passe des plus dégeulasses

Euh non, Nyrod, juste comme çaFootball: l'incident Ciccolini/Cana, une première pour la commission de discipline
mar 01 mar, 12h50
PARIS (AFP) - La Commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP), qui devra se prononcer jeudi sur l'insulte raciste lancée samedi par l'entraîneur de Bastia François Ciccolini à l'international albanais du Paris SG Lorik Cana, n'a jamais eu à statuer sur un incident similaire, a indiqué mardi son président.
"Pour nous c'est une première, nous n'avons pas eu à traiter ce genre d'incident à la commission de discipline, a déclaré à l'AFP Jacques Riolacci. Il y a un large éventail de sanctions."
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Les délégués du match de la 27e journée de L1 PSG-Bastia, samedi dernier, ont indiqué dans leur rapport que l'entraîneur bastiais avait lancé à Cana, originaire du Kosovo, une insulte en rapport avec sa nationalité, après une faute de ce dernier sur Henock Conombo.
"Dans ce stade vide qui résonnait (en raison du huis clos prononcé par les instances fédérales), le propos de M. Ciccolini a été perçu très distinctement par les délégués, a précisé M. Riolacci. Nous sommes saisis car nous avons reçu un rapport indiquant que M. Ciccolini a dérapé verbalement."
Interrogé par Corse matin, l'entraîneur bastiais a reconnu avoir "eu, effectivement, cette parole pour le moins malheureuse". "C'est venu sous le coup de la colère lorsqu'un de nos jeunes, pensionnaire du centre de formation, a été sévèrement accroché. J'ai cru qu'il était blessé et j'ai lâché cette insulte".
"Je regrette profondément et très sincèrement avoir tenu un tel propos, ajoute l'entraîneur corse. J'ai appelé Lorik Cana, je lui ai présenté mes excuses et il les a acceptées. Il m'a dit que pour lui l'incident était clos."
Le président du SC Bastia Louis Multari a également "appelé Cana pour lui présenter les excuses officielles au nom du club".
"C'est très bien, a estimé M. Riolacci. Néanmoins dans ce genre de délit, il peut y avoir des circonstances atténuantes, mais les excuses après coup ne valent pas absolution. Nous sommes obligés de constater le délit et d'apporter une sanction qui semble appropriée à la faute."
"Pour le moment, il n'y a pas de sanction interne à l'ordre du jour à Bastia", a de son côté déclaré à l'AFP M. Multari, déplorant les "propos regrettables et condamnables" de son entraîneur. "Nous attendons l'audition devant la commission de discipline jeudi pour statuer".
"Sans vouloir en minimiser la portée, il a réagi sous le coup de la colère et je suis certain que ses propos ont dépassé sa pensée", a ajouté le président du SCB, avant-dernier de la L1.
M. Riolacci a par ailleurs tenu à préciser qu'il ne fallait "pas faire un lien" entre cet incident et les agressions racistes dont ont été victimes deux joueurs bastiais de couleur, Franck Matingou et Pascal Chimbonda, en novembre dernier après une défaite à domicile contre Saint-Etienne (0-3).
600€ ?!Racisme: le Deportivo à l'amende pour des insultes racistes de ses supporters
mer 02 mar, 12h05
MADRID (AP) - La Fédération espagnole de football a sanctionné d'une amende mercredi le Deportivo La Corogne, pour insultes racistes de ses supporters.
Elles avaient visé Roberto Carlos, le défenseur du Real Madrid, en déplacement à La Corogne samedi dernier lors d'une rencontre du championnat d'Espagne.
Le Deportivo aurait à verser la somme de 600 euros.
Un porte-parole de la Fédération n'a pu confirmer le montant de l'amende, mais il s'agirait de la même somme qu'ont dû verser Albacete, Getafe, Malaga et l'Atletico Madrid lors d'incidents similaires survenus cette saison.
Les supporters du Deportivo avaient imité les cris de singe à chaque fois que Roberto Carlos entrait en possession du ballon lors de cette rencontre, forçant l'arbitre Jose Losantos Omar à interrompre le match pour demander aux dirigeants du club d'intervenir pour que ce scandale cesse.
L'Espagne est en prise à de multiples dérapages racistes dans ses stades. La Fédération internationale de football (FIFA) a condamné la Fédération espagnole à 65.000 euros d'amende après des insultes racistes ayant émaillé le match amical Espagne-Angleterre en novembre dernier au stade Santiago Bernabeu de Madrid.
Mardi, Luis Aragones le sélectionneur de l'équipe d'Espagne de football, a été condamné à 3.000 euros d'amende pour avoir tenu des propos racistes à l'encontre de l'international Thierry Henry puis s'en être pris au passé colonial de la Grande-Bretagne. AP