<!--QuoteBegin-revenir13+Jul 17 2004, 09:03 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>
QUOTE (revenir13 @ Jul 17 2004, 09:03 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->
La seule crainte que j'ai, c'est que la saison soit à la merci d'un manque de chance dans les premiers matchs et que la fragilité mentale des supps* fasse le reste pour nous précipiter dans nos scories habituelles.
<span style='font-size:8pt;line-height:100%'>*<span style='color:red'> dans cette hypothèse</span>, il faut bien dire que ce serait miracle que les nerfs ne lachent pas ici ou là , à un moment ou un autre après ces derniers jours si pénibles à subir.</span>
Il ne reste plus qu'à prier
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A se demander si le désordre n’est pas organisé dés fois…Parce que cette année, c’est sur des chapeaux de roues. Ou alors Bouchet, l’est complètement …Ou alors, il ne sait pas ou il ne l’a pas encore vu que le Mistral souffle en tourbillons sur le boulevard Michelet, pas toujours fort c’est entendu, mais de tous les côtés…Quand il te descend du Boulevard Rabateau avec justement toutes les scories de la Capelette, de l’Huveaune, de Ste Marguerite, du Cabot et même du Redon ! pour aller embrasser au Rond Point du Prado avec une violence inouïe, tous les quartiers sud que l’entonnoir de la rue de Rome ont propulsés comme dans un canon…
C’est celui de la Terre à la Lune de Jules Vernes, ou encore ceux de Navarone ou peut-être la grosse Bertha …C’est terrible, mais à Marseille, nous avons l’arme nucléaire et ce qu’il y a de plus terrible encore, c’est que l’on a pas de bouton rouge pour l’actionner, encore moins de code répartis entre état-major et Président…Non, rien de tout ça …Tout est dans la mominette, celle avec du sirop d’orgeat au fond…Elle t’as un parfum du large…qui te mènes directement au grand vaisseau sans toit et quelquefois sans lois. Que tu la prennes dés 5 heures au Bar des Sports, à l’Arrêt Bar ou au Grand St Giniez, elle est indécelable tant la douceur de l’amande calme la fureur de l’anis, même le gendarme à la grille de ce qui fut autrefois une piste cyclable aura beau palper et re-palper, RIEN ! il ne trouvera RIEN !!
Car l’eau lourde ainsi ingurgitée à besoin de sa mèche, de son détonateur, de son étincelle, de son grain de folie dont personne encore n’a trouvé la mystérieuse alchimie, et qui est capable de provoquer le plus énorme des big-bang…
Ce Diouf
La bave de crapaud n'atteint pas le blanc de poulet 
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