Notre arbitre chauve préféré a un site internet. mdr
Il se prend vraiment pour une star.
<a href='http://www.pierluigicollina.it/' target='_blank'>http://www.pierluigicollina.it/</a>
Apparemment son site est indisponible en ce moment... on se demande bien pourquoi?
Admettons qu'il y ait carton rouge sur BARTHEZ, je dis bien admettons...
Pourquoi notre cher chauve n'applique par le règlement à la lettre quand il s'agit de fautes Espagnoles:
- 1ère mi-temps: coup de boule dans la nuque de DROGBA, coup de coude dans la nuque de DROGBA, crampons en avant sur la cheville de ... DROGBA, arrêt des 2 mains de CARBONI alors que l'OM repartait en contre avec DROGBA (cette dernière faute n'a mérité qu'un jaune).
- 2ème mi temps: alors que l'arbitre sifflet coup franc pour l'OM, un espagnol continue de jouer et tire, Gavanon arrête la balle => à la lettre, il doit y avoir carton jaune!!!
Comme tous les marseillais, j'ai les boules après ce que Marseille a subi, alors
je dis:
=> faisons chier COLLINA sur son site.
Dès que celui ci-sera accessible, innondons le de mail, ou autres.
Saturons son site de m...
COLLINA, on ne veut plus que tu arbitres des confrontations FRANCE ESPAGNE!!!
Au fait, si nous pensons vraiment qu'une telle attitude manifestement narcissique, égocentrique et son comportement familier et partial sont nuisibles pour le football, je vous propose plutôt de coller un sujet OBSERVATOIRE DE PIERRE-LOUIS COLLINA.
L'idée serait de répertorier toutes ses attittudes avant ou après les matches et ses décisions contreversées partout en Europe et peut-être rallier d'autres clubs à notre combat!
<!--QuoteBegin-MerciLilian+May 22 2004, 03:15 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (MerciLilian @ May 22 2004, 03:15 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Au fait, si nous pensons vraiment qu'une telle attitude manifestement narcissique, égocentrique et son comportement familier et partial sont nuisibles pour le football, je vous propose plutôt de coller un sujet OBSERVATOIRE DE PIERRE-LOUIS COLLINA.
L'idée serait de répertorier toutes ses attittudes avant ou après les matches et ses décisions contreversées partout en Europe et peut-être rallier d'autres clubs à notre combat! [/quote]
Excellente idée ML
"There are only two reasons to date a girl you've already dated: breast implants."
<!--QuoteBegin-Joker+May 22 2004, 03:31 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Joker @ May 22 2004, 03:31 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> <!--QuoteBegin-MerciLilian+May 22 2004, 03:15 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (MerciLilian @ May 22 2004, 03:15 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Au fait, si nous pensons vraiment qu'une telle attitude manifestement narcissique, égocentrique et son comportement familier et partial sont nuisibles pour le football, je vous propose plutôt de coller un sujet OBSERVATOIRE DE PIERRE-LOUIS COLLINA.
L'idée serait de répertorier toutes ses attittudes avant ou après les matches et ses décisions contreversées partout en Europe et peut-être rallier d'autres clubs à notre combat! [/quote]
Excellente idée ML [/quote]
tu trouvera beaucoup de supporter de la Juve et de supporter de l' équipe national TCHèque.
a la Juve ils sont anti COLLINA
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
C'est décidé, après Gentile, Schumacher, Houllier, je hais Collina et j'irais pisser sur sa tombe.
C'est absolument inouï de nier que cet homme est un détraqué.
N'importe quel arbitre européen de Anders Frisk à Sars pourraient faire un site et se la péter avec des photos de eux avec des joueurs etc.
Ca fait vraiment peur!
Seulement voilà, un individu sain d'esprit ne se sert pas de l'arbitrage pour se mettre en avant.
On apprend donc également qu'il a joué dans une équipe de curé à Bologne. C'est évident que nous sommes tombés dans un traquenard.
Like most kids of his age, after spending afternoons playing neverending matches, he joined the church team, the Don Orione in Bologna, being much more on the bench then in the starting eleven.
Like most kids of his age, after spending afternoons playing neverending matches, he joined the church team, the Don Orione in Bologna, being much more on the bench then in the starting eleven.
Il est frustré d'avoir passé le plus clair de son temps sur le banc au côté des bonnes soeurs !
j'apporte des elements de reponse quand à cet inexplicable coup du sort :
On voit clairement sur cette image barthez pietinant le pied de Mr collina Comment ne pas comprendre cette envie de lui faire payer l'affront ? (à noter les spectateurs gueulant : tue le ! tue le ! à notre brave pierluigi)
göteborg, 19 mai 2004<br><br>On craint dégun ! *<br><br><br>*sauf les cartons de collina
<!--QuoteBegin-"Le Monde"+--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE ("Le Monde")</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->En Italie, donc : le dernier scandale d'un foot en métastases est celui des paris. Le parquet de Naples enquête sur des matches des trois premières divisions et les liens entre certains joueurs et la Camorra, l'organisation criminelle napolitaine.
Il soupçonne que des matches ont été truqués. La direction antimafia a ainsi mis en examen 17 personnes, dont 9 joueurs. Trois sont membres de Sienne, club qui a réussi à grand-peine à se maintenir en première division : Nicola Ventola, ex-attaquant de la sélection nationale des moins de 21 ans, Generoso Rossi et Roberto D'Aversa. A ces trois-là s'ajoutent Steffano Battarini et Antonio Marasco, de la Sampdoria de Gênes. Les autres sont des joueurs de moindre notoriété. Figurent avec eux des repris de justice, des employés de banque, des petits entrepreneurs et un homme politique.
Le personnage central est Generoso Rossi, 25 ans, qui, après 24 matches, avait résilié son contrat avec le club toscan pour des "divergences" avec l'entraîneur. La magistrature n'y croit pas. D'après des écoutes téléphoniques, Rossi avait pronostiqué cinq résultats qui se sont vérifiés, le 18 avril. Dans ses conversations, il évoquait des "accords" entre les dirigeants du Chievo Vérone et de Sienne ("les clubs s'étaient mis d'accord, mais Del Neri -entraîneur du Chievo- a dit qu'il voulait jouer"). D'après Filippo Beatrice et Giuseppe Narducci, les magistrats enquêteurs, il ne s'agissait pas d'ententes occasionnelles. Ils soupçonnent un mécanisme régulier pour fausser des résultats par rapport aux paris.
On pourrait se consoler en pensant qu'il s'agit d'un trucage aux proportions très inférieures (gains : 30 000 à 40 000 euros pour les parieurs) à ceux qui avaient été découverts en 1980. Reste que le fléau touche désormais des régions "saines" du foot italien : la Toscane et la Vénétie. Le 11 mai, les enquêteurs ont perquisitionné aux sièges de douze clubs : Ascoli, Catanzaro, Vérone, Crotone, Fermana, Lecce, Lumezzane, Plaisance, Reggio de Calabre, Sassari, Sienne et Tarante.
Modène et Empoli, clubs relégués en deuxième division, ont présenté une réclamation : ils exigent que les équipes précitées soient pénalisées si les délits sont avérés, et que le classement du championnat soit rectifié. Les années précédentes déjà, l'accumulation des affaires (faillites, fausses cautions financières) avait fait éclater le système : cela a commencé par un "arrêt" de vingt jours des matches en division 2, suivi d'un compromis prévoyant une réforme du nombre des équipes dans chaque championnat. Les résultats sur le terrain furent effacés par les décisions prises autour d'une table. L'enquête sur les fausses garanties bancaires (la Roma et Naples) est toujours en cours. De gros bonnets du sport (Comité olympique italien, Fédération et Ligue de football) sont soumis à des enquêtes pour abus. Le Parlement a, lui aussi, ouvert une enquête.
Le fond du problème est que la crise économique du foot italien est profonde. Les clubs de Parme (ex-propriété du géant agroalimentaire Parmalat, dont les dirigeants sont mis en examen pour faillite frauduleuse), la Lazio (autre club de Rome) et Naples sont menacés de faillite. Plusieurs équipes risquent l'exclusion des prochains championnats pour incapacité financière. Le total des dettes des équipes des divisions 1 et 2 s'élève à 1,9 milliard d'euros (pour un chiffre d'affaires du calcio estimé à 1,4 milliard). Les pertes des clubs ont augmenté de 696 % de 1995 à 2002. Parme est dans le rouge pour 309 millions, la Roma pour 265 et la Lazio pour 186. Le Milan AC l'est aussi, avec 143 millions d'euros de pertes, l'Inter avec 176 millions. Mais leurs propriétaires mécènes, Silvio Berlusconi et Massimo Moratti, couvrent les déficits sur leurs fonds. Les deux équipes romaines doivent 110 millions d'euros au fisc. La dette fiscale des clubs italiens atteint 510 millions d'euros. Sur dix-huit clubs de première division, seuls six paient normalement les salaires des joueurs.
Le décret-loi dit salvacalcio ("sauver le foot"), qui devait consentir aux clubs un "étalement" de leurs arriérés sur dix ans, n'a pas été approuvé, la Lega, parti d'Umberto Bossi (membre de la coalition gouvernementale), s'y étant opposé, menaçant d'une crise de gouvernement. Les autorisations de l'UEFA (la Fédération européenne de football) pour jouer les prochaines coupes d'Europe sont contournées à coups de dérogations ou d'ouverture de contentieux qui repoussent les échéances. De sorte que le président de la Fédération française, Frédéric Thiriez, a accusé le foot italien de "concurrence déloyale".
Les situations scabreuses se multiplient. La banque Capitalia a des intérêts dans 7 clubs différents. Elle possède, par exemple, 5,76 % de la Lazio mais contrôle aussi la moitié du patrimoine du président Sensi, du club concurrent de la Roma, lequel a 400 millions de dettes envers elle. Le banquier Cesare Geronzi, soumis à une enquête pour sa participation présumée dans les krachs de Calisto Tanzi et de Sergio Cragnotti, les deux anciens patrons de Parme et de la Lazio, tient entre ses mains le destin des deux équipes de la capitale, mais aussi de Pérouse, qu'il contrôle à 99,5 %. Le président de la Federcalcio, Franco Carraro, est aussi président de MCC, la banque d'affaires de Capitalia qui, entre autres, s'occupe de la liquidation des biens de Franco Sensi... Autre extravagance : en juin, le match de barrage pour obtenir une place en première division pourrait se jouer entre Pérouse et Catane, deux équipes appartenant au même président, Luciano Gaucci !
La chaîne Sky TV, de Rupert Murdoch, aura l'an prochain le monopole des retransmissions de matches en direct, élargissant l'écart entre les présumés clubs riches et les pauvres - lesquels le sont plus certainement. La Juventus, Milan et l'Inter empocheront 400 millions d'euros jusqu'en 2007. Les autres devront se saigner pour les miettes restantes. "Milan et la Juventus, accuse Gianni Rivera, ex-gloire du Milan devenu député de centre gauche, ont trop de pouvoir. Leurs dirigeants, Antonio Giraudo et Adriano Galliani -désignés par leurs propriétaires, la Fininvest de Berlusconi et la Fiat-, se réjouissent quand leur équipe marque un but parce qu'ils ne voient que ce qu'il vaudra dans leur bilan. Du foot à proprement parler, ils se moquent complètement." A distance, Galliani rétorque : "Les grands clubs couvrent 80 % des pertes globales. Les coûts de la Série B n'ont aucun sens. Le foot est endetté parce que trop d'équipes descendent en division 2."
Comme si tout cela ne suffisait pas, trois joueurs - Manuele Blasi (Parme), Mohamed Kallon (Inter) et Saadi el-Khaddafi (Pérouse) - ont été disqualifiés pour dopage. Le fils du colonel libyen s'est révélé positif la seule fois où il a joué un match de championnat, entrant comme remplaçant contre la Juventus, un club dont il est par ailleurs actionnaire minoritaire. Enfin, les dossiers contre les arbitres, accusés à tour de rôle par tel ou tel club d'être asservis au pouvoir des grands clubs, s'accumulent sur les bureaux de la Fédération : une ancienne et chère habitude. Tel est le constat clinique du foot italien. Comme disait Jules Renard, sauf complications, il est en train de mourir.
notre combat! 
Comment ne pas comprendre cette envie de lui faire payer l'affront ? (à noter les spectateurs gueulant : tue le ! tue le ! à notre brave pierluigi)
