<!--QuoteBegin-urba de casablanca+Jan 8 2006, 12:06 AM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>
QUOTE (urba de casablanca @ Jan 8 2006, 12:06 AM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--><!--QuoteBegin-Niko from acapulco+Jan 7 2006, 03:38 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>
QUOTE (Niko from acapulco @ Jan 7 2006, 03:38 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> non c'est bien Benjani c'est une tanche
et puis bon c'est eux qui ont raison après tout ... nous on est con on prete des joueurs à nos concurents directs en prenant en charge le salaire, on se fait préter n'importe quel joueur en prenant le salaire en charge dans sa quasi totalité et on oserai s'offusqer qu'un club concurrent n'ose pas nous renforcer
Vieiri est laissé libre par le milan AC au fait

[/quote]
Chuis d'accord avec Niko, le prèt de Luyindula, c'est le truc le plus idiot qu'on ait fait depuis le transfert de Fiorese
(putain, on fait une cagade historique tous les 6 mois, welcome au Cirque Pinder

)[/quote]
C'est une connerie dans le sens où lulu aurait pu nous apporter quelque chose sportivement, mais pas dans le fait de l'avoir prêté à un "concurrent direct".
Sans vouloir tomber dans la paranoïa, il faut reconnaitre que certains clubs "français" (je mets les guillemets pour Moco

) font tout pour éviter que certains joueurs signent à L'OM. Quand Plessis déclare ouvertement qu'il préfererait que Pédretti signe à lol plutôt qu'à L'OM malgré une offre sensiblement équivalente, ou que Moco pose son véto à un départ de Gallardo vers Marseille, y'a quand même de quoi se poser des questions

Attitude d'autant plus surprenante qu'elle constitue une spécifité franco-française (ou franco-marseillaise) car dans tous les autres championnats européens les transferts inter-clubs sont monnaie courante. Le meilleur exemple restant l'Italie (prêt d'Abbiati après la blessure de Buffon) où les joueurs passent d'un club à un autre avec une facilité assez déconcertante, sans que la notion de "concurrent direct" entre en ligne de compte
Au lieu de créer une émulation en favorisant des transferts nationaux pour éviter que les meilleurs joueurs signent à l'étranger, la plupart des clubs optent pour des clubs de seconde zone au niveau européen
